Après les 40°C
Depuis un petit chalet, directement sur le lac (Alta Lake, nom original de Whistler), vue sur les montagnes et les conifères canadiens, je me sent presque chez moi… version trappeur du début du siècle !
Partie en rando hier, l’itinéraire et mes pieds se sont retrouvés dans deux mètres de neige…
En fait de rando, c’était plutôt une course d’orientation hivernale de 7 heures.
Je pensais me retrouver en fin de saison d’hiver, triste de ne pas voir ou toucher la neige… il m’a fallu attendre d’être de retour au chalet devant un feu de cheminée pour que mes pieds retrouvent leur couleur d’origine… (le bleu leur allait assez bien pourtant !)
L’avantage c’est que c’est assez rapide, souvent éphémère, assouvi une certaine curiosité naturelle (enfin, pour ma part !), ne vous engage à rien mais ouvre l’esprit… voir crée des amitiés…. et parfois des points de chutes pour les prochains voyages !
Randoms rencontres…
J’ai rencontré une famille d’allemands avec leurs deux enfants de quatre et sept ans, partis en voyage pour six moi. Deux jeunes, partis pour huit mois autour du monde, fermiers anglais d’une vingtaine d’année amoureux de leur métier, obligés d’écourter leur voyage à une semaine de la fin, pour avoir bus toutes leurs économies. Un gars de Toronto qui avait conduit 4000 Km en 7 jours tout seul pour rejoindre la Colombie-Britannique. Deux jeunes québécoises de 18 ans, qui ont du demander de l’aide aux passants pour acheter des bières, parce que d’une côte à l’autre du Canada la majorité varie d’un an…..
Random surprises….
En arrivant à Whistler, station de ski à 135 km au nord de Vancouver, je sorts du train et vais jusqu’à la poubelle (nous sommes au pays du recyclage… et c’est tant mieux !). Pendant que je me réjouissais de cette « green attitude » qui m’est chère
Puis écrit en gros, (ceci expliquant cela) : « Whistler is a bear country, do not feed them » (« Whistler est un pays d’ours, ne les nourrissez pas ».
Hehe, j’avais pas l’intention d’aller leur faire la causette de toutes façons.
Dès lors, je me suis enfin vraiment senti au Canada.
Parce qu’en fait d’Ours à Vancouver, j’ai surtout était frappée par le nombre de personnes qui mendient dans la rue, leur jeune âge, leur évidente toxicomanie et les quartiers qui leur sont directement dédiés, voire réservés.
La plupart d’entre eux sont
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